Le Coran parle de Hâmân avant la traduction des hiéroglyphes

8:41 - June 25, 2018
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Parmi les révélations contenues dans le livre Saint, l’une a donné matière à discussion à nombre d’archéologues et de scientifiques. Le Coran rapporte au sujet de l’Egypte antique plusieurs faits historiques découverts qu’aux périodes récentes.

 


 L'alphabet hiéroglyphique a été déchiffré il y a approximativement 200 ans par le français Jean-François Champollion, avant cela les hiéroglyphes ne pouvaient être lus par personne. Pourtant le nom Hâmân est cité dans six versets du Coran, il est mentionné avec Pharaon pendant la vie du Prophète Moïse (Paix sur lui).

Contrairement aux assertions infondées des contradicteurs du Coran, il est dit dans le livre saint que Hâmân a vécu en Egypte pendant la période de Moïse (Paix sur lui) il était un proche du Pharaon et a accompli des travaux de construction tel qu’indiqué dans le verset 38 de la Sourate al-Qasas :
Et Pharaon dit : “Ô notables, je ne connais pas de divinité pour vous, autre que moi. Haman, allume-moi du feu sur l’argile puis construis-moi une tour peut-être alors monterai-je jusqu’au Dieu de Moïse. Je pense plutôt qu’il est du nombre des menteurs ”.


Le Docteur Maurice Bucaille nous informe dans cette séquence avoir voulu savoir si ce nom a bien été mentionné dans les hiéroglyphes conservés. Il contacte un égyptologue et lui demande si ce mot date du VIIème siècle, époque de la prophétie du Prophète (salallahu’ alayhi wasalam). L’égyptologue lui certifie qu’aucun texte hiéroglyphique ne peut mentionner un nom inconnu. Mais après avoir consulté le Dictionnaire des noms de personnel du Nouvel Empire de Ranke, le Dr Bucaille trouve ce nom avec une note « Chef des ouvriers des carrières ».Un titre qui donne tout son sens au verset 38 précité.


L’existence du nom Hâmân dans les inscriptions égyptiennes antiques prouve que le Coran fournit un fait historique qui ne pouvait ni être détenu ni compris pendant la période du Prophète, les hiéroglyphes n’ayant pu être déchiffrés qu’à la fin du 18e siècle. En conclusion, la découverte du nom Hâmân dans les écrits égyptiens antiques confirme la nature infaillible du Coran, la parole de Dieu.

ajib

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